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Kawasaki a construit sa réputation dans les années 60 avec des 2-temps sportifs et l'a consolidée dans les années 70 avec le légendaire 900 Z1, un 4-cylindres 4-temps de 903 cm3 qui fut un coup de tonnerre en son temps.
Les gens de chez Kawasaki avaient bien gardé en mémoire l'image sportive des motos que la marque avait vendues auparavant, et en 1982 leur nouvelle Kawasaki GPZ 750 a simplement montré de quelle façon une Kawasaki pouvait parfaitement être, encore, une vraie sportive.
La 900 Z1 fut essentielle à la réussite de Kawasaki. Grâce à cette Z1 et à ses solides bases, pour ainsi dire taillées dans le roc, la marque a pu mettre sur le marché des évolutions et des variantes pour le reste des années 1970 - et au-delà. Pour faire court, son architecture du 900 Z1 a été à la base d'une nouvelle gamme de motos de sport dans les années 1980, la série GPZ, introduite en 1981 avec une 1100 cm3 et un 550cm3. Comme tous les 4 cylindres Kawa avant elles, ces nouvelles sportives GPZ faisaient valoir des culasses à doubles arbres à cames en tête, ainsi que l'allumage électronique et trois freins à disques, l'équipement qu'on peut exiger sur n'importe quelle moto ayant des prétentions sportives. En dépit du fait que la GPZ 1100 pouvait prétendre être une des premières motos de série sportives à injection, ce n'était pas pour autant la moto le plus technologiquement avancée de son époque. Cette question ne dérangeait pas les fans de Kawasaki le moins du monde, car même si les GPZ étaient un peu en retard techniquement par rapport à d'autres motos concurrentes, c'étaient tout de même indéniablement des motos rapides et amusantes. Il suffisait pour s'en convaincre d'observer les premières lignes des courses de promotion alors populaires pour les 550 : elles étaient largement squattées par des Kawasaki ! De plus la GPZ 1100 a rapidement acquis la réputation comme un excellente sportivo GT.
Le 750 arrive
La Kawasaki 750 GPZ a frappé les show-rooms en 1982. Certes, la ligne était directement inspirée de ses sœurs GPZ, mais son moteur, à l'exception d'une peinture toute noire, semblait fondamentalement identique aux Kawasaki 650 et 750 quatre pattes qui l'avaient précédes depuis 77... Pourtant, un examen plus approfondi montre qu'une plus grosse quantité de travail qu'il n'y paraissait avait été fournie pour donner à cette 750 une personnalité bien à elle. Nouveaux bits inclus une tête de cylindre révisée, porté et poli, et avec les petites chambres de combustion comprenant des crêtes spécialement placés pour provoquer de turbulence. Nouveaux pistons avec plus dômes aidé presser le carburant entrant / air de suralimentation, ce qui entraîne un taux de compression de 9.5:1. Profils d'arbre à cames révisés et de nouveaux Mikunis à vitesse constante de 34 mm a permis de respirer, et un refroidisseur d'huile maintenu à des températures de fonctionnement chèque. Les gaz d'échappement déplacé à travers de grande capacité échappement chromé noir qui complètent parfaitement le moteur tout noir.
Pour aider à garder les choses en douceur, le moteur a été amortie dans un cadre à double berceau avec de grands supports en caoutchouc. Un empattement plutôt court de 58 pouces (CB750F Honda s'est établi à 60,5 pouces) a encouragé les virages serrés et de pilotage facile, tandis que l'air-assistée fourches et amortisseurs réglables, pour les deux amortissement précontrainte et en détente, pris sur les bosses de la route. Freins à disques triples avec rotors forés complété les éléments mécaniques, et un schéma de peinture arrestation-me-rouge rehaussé de graphismes forts dit au reste du monde ce fut un vélo qui ne plaisantait pas.
Kawasaki GPZ 750 commercialisé le comme une lumière, machine répond avec une grande puissance-poids - juste la chose pour les canyons de sculpture ou d'une petite compétition amicale sur le circuit local. Certes, un poids à vide d'un peu plus de 500 livres n'était pas exactement svelte, mais avec un 80hp revendiqué le 750 pouvait se bien acquitter sur la route et sur la piste, où Cycle World couru un à l'1/4-mile dans moins de 12 secondes. Comparez cela à la livre près de 550, 75 ch CB750F et ses meilleurs moments 1/4-mile dans le haut 12s, et la performance de l'appel GPZ vient en perspective.
Une recette à succès
La combinaison GPZ de go-fast style et les performances évoqué massif luxure dans la foule moto sport. En 1982, Don Johnson, le propriétaire de la moto caractéristique, était dans l'armée, avec peu de temps à consacrer à des activités parascolaires telles que l'amélioration chrono. Pourtant, dans un spectacle de déloyauté massive à son tour alors en vigueur, une Suzuki 1978, il a passé un pourcentage important de ce temps libre, il avait lorgne les marchandises du concessionnaire Kawasaki. "Comme beaucoup de gens, j'ai passé ma jeunesse baver sur les vélos. Ils ont eu un GPZ 1982 à votre revendeur local, et j'avais l'habitude d'aller là-bas et le caresser », déclare Don. "Le concessionnaire pensait qu'il avait un pervers dans sa concession. Je voulais l'acheter, mais je me suis livré à l'Allemagne avant que je sois l'argent ensemble. Depuis lors, j'ai eu un faible pour cette moto. "
Magazines contemporains, également soumis à la passion, enthousiasme Kawasaki testé la 750 nouvelle. Aucun scrupule au sujet du manque de la plus récente technologie (refroidissement à eau et culasses à 4 soupapes, par exemple) ont été mis de côté pour encourager la GPZ de vitesse, de puissance et de manutention.
Même ainsi, les testeurs souligné un haut long chaud nécessaire au démarrage, un endroit plat dans la carburation, et un léger bourdonnement à travers les barreaux. Pourtant, mis à part ces réserves, les magazines salué la GPZ 750 comme un appareil polyvalent, bonne machine de manipulation qui était assez confortable pour visiter le. "La GPZ est essentiellement une représentation stylisée de haute performance spin-off de KZ750E vénérable Kawasaki», a déclaré Rider dans son Octobre 1982 question.
Une question souvent ignorés par les testeurs période a été la hauteur de la moto: Il fallait être de la taille du mâle américain moyen de bien faire sur la GPZ. En 1983, Rider récolté cinq cavaliers expérimentés femmes et pour les envoyer en un tour de Californie, avec six motos, y compris un GPZ Kawasaki 750. La plupart des femmes ont vite constaté que les problèmes ergonomiques sérieusement freiné leur jouissance de la GPZ. "Il est grand, il est puissant, et il ne compromet pas», a déclaré Mme Dorde Woodruff, ajoutant: "Il a été le plus difficile pour notre groupe."
Les femmes ont trouvé position avant d'utiliser le vélo et la hauteur du siège de 31,5 pouces du mal à faire face. Sur les routes sinueuses, étroites, Mme Woodruff préféré la BMW R80ST son groupe a également testé. "La Kawasaki c'était trop de travail et un peu effrayant pour moi là-bas," dit-elle.
«Je devais avoir le gars cible ergonomique quand ils ont construit le GPZ," Don dit, notant ses 5 pieds 10 pouces cadre s'adapte parfaitement la moto. Il le prend sur incursions dans les collines environnantes, et n'a aucun problème avec les chevilles un peu Rearset ou les barres abaissés. "En fait, c'est une moto formidable autour de la ville», at-il ajouté.
En 1983, Kawasaki GPZ considérablement modifié le, ce qui lui donne un cadre nouveau choc unique, un carénage avant complet à la place du carénage petit bikini sur les premiers vélos et un moteur plus radicale. La compression porté à 10,5:1 et une puissance de 85 ch a revendiqué, en fournissant plus de vitesse au détriment de la polyvalence de la moto de 1982. Bien qu'il y ait eu des critiques en sourdine de la technologie de Kawasaki - ou l'absence de celle-ci perçu - dans certains coins, il a été calmé pour un moment où Wayne Rainey, la course pour Muzzy Kawasaki, a remporté le championnat AMA Superbike sur une course préparée GPZ 750 en 1983.
La version de 1984 a perdu des fourreaux de carénage et a gagné plus de bars confortables, tandis que pour 1985, les barres de meilleurs resté, mais les fourreaux étaient de retour. Cependant, 1985 a été l'année dernière pour la GPZ à refroidissement par air. En ce moment, Kawasaki a eu ses prochaines génération à refroidissement liquide motos sportives Ninja prêt. Mais pas tout le monde était en faveur de nouveaux progrès. Comme Cycle World a déclaré en 1985: «Dans l'ensemble, la GPZ est une moto satisfaisant. Mais satisfaisante peut ne pas être suffisant pour beaucoup plus longtemps ... Il est susceptible d'être remplacé l'année prochaine avec un Ninja 750, une moto qui offrira non seulement des performances de plus, mais plus coût et la complexité, aussi bien. "
Don obtient enfin son GPZ
Don Johnson est revenu de sa tournée en Allemagne et reprit son histoire d'amour avec des vélos. Il a finalement commencé à recueillir des motos, y compris la Triumph 1970 actuellement assis dans son salon. Pourtant, il lui arrivait de se surprit à penser à ce sujet GPZ de manière salle d'exposition du concessionnaire en arrière quand, et sans rien à lire les petites annonces hiver dernier, il a vu une annonce pour un GPZ 1982 Kawasaki 750.
Don s'est immédiatement attelé à la corne et demandé des photos, qui montrent une variété principalement stock, la machine bien entretenue. Il était prêt à se précipiter vers la maison du vendeur lorsque la réalité a frappé - c'était l'hiver, après tout, et le voyage aurait été compliqué. Alors il appela son frère, Mike, qui vit en dessous du seuil de neige où le vélo était situé, et le frère Mike décidé d'aller voir le vélo, et l'acheter si elle avait l'air aussi beau que la machine dans les photos.
Voir le vélo, Mike dûment convoquée, le reporting, "Hé, il est encore mieux que sur les photos. Etes-vous sûr que vous voulez? Si vous n'aimez pas, je vais le garder. "
Mike a acheté la moto et il rentra chez lui, et dès que Don a pu, il s'est présenté avec une remorque, prêt à s'installer avec Frère et prendre la maison GPZ. Il était en état de marche confortable, mais il avait un siège incorrect, n'avait pas la barre de maintien stock, et avait quelques dommages à la peinture causés par une pile qui fuit.
«J'ai commencé la recherche d'une assise correcte», rappelle Don. "J'ai trouvé un bout de deux heures sur un site amateur de Kawasaki. Un ami est vraiment bon avec des sièges, et deux d'entre nous ont réussi à fusionner les deux sièges alors j'ai eu un siège correct. Puis je suis allé à la recherche d'une main courante. Le gars qui avait le siège m'a dit: «Je souhaite que j'avais connu il fallait une main courante. Je l'aurais jeté dans la boîte avec le siège. "
Don réparé et peint la boîte de la batterie, le faire cuire dans le four de la cuisine pour lui donner un fini dur. Il a remplacé les tuyaux, capsules et des boulons arrondis, et modifié sur l'huile de la fourche, le filtre à air, et le filtre à huile et l'huile. «Chaque fois que je reçois une maison de vélo, je change tous les fluides comme une question de cours», dit Don.
Les pneus étaient visiblement nouveau quand il a acheté la moto, alors il les a laissés seuls. Le vélo a également eu un renfort avant rechange fourche, dont il a laissé en place. Fait important, les pots d'échappement, qui sont maintenant à peu près unobtanium, étaient en bon état. «Il ya de minuscules bosses de gravier sur les collecteurs que vous ne pouvez pas voir sur les photos, mais je sais qu'ils sont là. Je cherche un gars qui fait chrome noir, "Don dit, en expliquant qu'il aimerait renouveler les conduites d'arrivée.
Don dit que le GPZ est à son meilleur sur des routes sinueuses dans les collines. "Il renoue avec le trafic, change de voie intelligemment, a de bons freins et une bonne accélération. Vous n'avez pas à vous soucier de se faire écraser par la voiture derrière vous. Ce n'est pas un super-gestionnaire selon les normes actuelles, mais il est bon. Je ne l'ai jamais poussé très fort, mais il ne sera pas vous embarrasser sur une route de montagne. "
Don dit aussi la moto se comporte bien sur l'autoroute. "Le siège est confortable. Il ya une légère vibration dans les bars, mais pas au point où il est une gêne. "Et alors qu'il n'a pas acheté le GPZ pour l'économie, il pense qu'il ne le remarquerait si la GPZ était exceptionnellement soif. "Il semble à peu près normal pour une moto de ce déplacement," dit-il. Période testeurs eu entre 40-50 miles par gallon, en fonction de l'enthousiasme avec lequel ils ont poussé le moteur.
Résumant son amour pour sa GPZ, Don repense à la première fois il aperçut un 750. "C'est une chose chimie», explique Don. "C'est quelque chose qui a été avec moi depuis 1982. J'aime classique y motos en général et de la GPZ est classique. J'aime la façon dont il regarde et se sent et paraît. C'est un classique avec une inclinaison de performance. "MC
la traduction n'est pas parfaite, mais on comprends les grandes lignes!
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